[Webb Avenue] En route vers le First Round...

Travis secoua la tête avant de venir discuter avec l'énorme Irlandais, qui semblait donner les ordres, lui parlant en un murmure :

Ecoutez, si on vous a dit que ce territoire était vide, on vous a menti. Ici, c'est chez nous, et croyez moi, c'est pas un cadeau. Vu le bordel que ça a l'air d'être, franchement, je vous souhaite pas d'être à notre place. Alors ce que vous devriez faire, c'est aller au Tur du Bronx, et de rencontrer un ancien qui vous confiera sûrement un territoire. Sinon, hors de New York, il y a plein de zones plus rurales qui vous conviendraient peut-être mieux. Si vous restez ici, non seulement nous devrons nous battre pour notre territoire. Et même si vous gagnez, les survivants préviendront les anciens qui viendront vous démonter le portrait. Et ce sera du propre, on vous retrouvera éparpillés aux quatre coins de New York. Alors pour votre bien, barrez-vous.

Travis se tint face aux grand type, adoptant le ton du policier sympa essayant d'aider le dealer multi-récidiviste, technique classique pour leur faire cracher leurs complices. Avec un peu de chance, ça marcherait aussi avec ces paysans.

HRP : Jet de Manipulation + Persuasion + point de volonté (et que les dés soient avec moi comme avec Gabrielle ) 5 succès !!!

Le colosse semble réfléchir, ce qui dans son cas à l'air de beaucoup lui couter, et son visage se tend sous l'effort. Finalement, il répond :

- Pô possib', galuchô. S'rait êt' faib' s'on s'bôrre l'queue ent' les guibolles. S'toi l'Ôlphô de s'te meute, lô ? S'ki l'Ôlphô ?

Il s'adresse au reste de la meute.

- S'ki l'Ôlphô ici ? J'défie vot'chef et quin j'l'aura moutrave, l'territoire l'est à nous, çô vô ?

A ces mots, la femme blonde rengaine son flingue. Visiblement elle semble considérer que la déclaration de son chef va régler leur différent.

Et merde…

Voilà que la montagne de muscle avait abordé le sujet qui fâche… Quoiqu’à bien y réfléchir, ça n’avait pas fâché grand monde jusqu’ici… puisque personne n’en avait parlé franchement dans le groupe.

Gabrielle jeta un bref regard à Travis, mélange de panique et d’appréhension. Elle se mit à prier pour que el padre ne se désigne pas, il se ferait tordre le coup en moins de deux minutes… De toute façon puisqu’il voulait régler ça par un combat, il n’y avait pas photo : d’elle, Gretchen et Gunther, il fallait qu’un des trois se désigne.



Elle avait souvent clamé qu’elle ne voulait pas de la charge d’Alpha, et elle s’y tiendrait. Ce qui laissait Gret’ et Gunther. Et dieu sait qu’elle s’inquiétait pour Gretchen… Ce n’était un secret pour personne que la jeune allemande mourait d’envie d’accéder au statut d’Alpha… seulement, elle ne voyait pas son amie venir à bout de ce monstre. Une brève vision du colosse fracassant la colonne vertébrale de Gretchen contre son genou traversa son esprit. Elle frissonna. C’était le genre de scénario qui avait toute les chances de se produire si Gret’ relevait le défi.

Restait donc Gunther…



Gabrielle se retourna vers ses compagnons de meute, attendant leur réaction. Ses yeux étaient fixés sur Gretchen, implorant, pour lui faire comprendre de ne pas foncer sur ce coup là…

Travis croisa les bras et répondit simplement à la question qu'on lui posait :

Non, c'est pas moi. Je ne suis que le médiateur.

Puis, suivant l'exemple de Gabrielle, il se retourna vers le reste de la meute, fronçant des sourcils, son expression indiquant clairement "comment on va la jouer celle-là ?"

Dans le cas présent, c'était la merde. Pas besoin de chercher midi à quatorze heure, on était clairement dedans jusqu'au ch'veux. Le biker fronça les sourcils à cette question, en effet, ils n'avaient pas d'alpha, mais le soucis, c'est qu'il en fallait un là, tout de suite maintenant, après est-ce que le-dit alpha garderait son statut après avoir réglé le problème, pas dit, mais à la limite, on s'en branlait... Pour ce qui était du choix du membre, un rahu était obligatoire, le truc c'est que Gretchen ne devait pas se coltiner ça, de un parce qu'elle risquait de se faire rétamer malgré sa nature de rahu, et de deux parce qu'elle ferait trop de plans sur la comète par la suite. Restait Gabrielle et lui, mais la chica ne semblait pas vraiment chaude pour essayer ça, elle n'avait pas vraiment l'air de vouloir combattre. Pourquoi ? Ca c'était une autre question. Le problème de Gunther, c'était son état actuel... Avec son régime riche en fer, il risquait de ne pas tenir bien longtemps sans craquer sous les torgnoles du costaud. D'ailleurs, en parlant de lui, il pourrait être interessant de le jauger par rapport au niveau Gunther et Gabrielle...

[oeil du guerrier sur le costaud : 5 10(3) 2 1 - 1 succès]

" Hum ! On va se concerter, ça devrait aller vite ! Ensuite, je propose que celui qui s'occupe de la médiation chez vous vienne établir les règles du duel avec Travis, notre Elodoth ! "

Quoi ? Ce n'était pas ça le principe du duel entre alphas, éviter les morts inutiles ? Cette idée plaisait à Gretchen car, en plus de comporter une lutte, cela pouvait se réglementer simplement, un peu comme un match de boxe ou autre. Ca voulait dire pas de meutes qui s'entredéchirent - à moins que les autres ne fussent mauvais perdants - et pas de violation du Serment de la Lune puisque pas d'Uratha mort. A condition que les règles misent en place soient respectées - un peu d'Honneur, bordel ! -.

" Déjà, si vous nous laissiez le temps de récupérer... Une heure grand maximum. Nan ? On peut organiser ça comme un match ! Comme ça, on s'arrange pour que personne ne meurt ! Ce serait quand même con qu'une meute bute le pote de l'autre... Je veux dire, la meute, c'est quand même plus important que le territoire, nan ? 'm'f'rait chier qu'vous gagniez mais si vous le faites sans zigouiller mes amis... C'est plus facile à avaler. Ca vous fait pas la même chose ? "

- Euh... fait le balaise. Ouais. C'est çô. N'ô fait l'serment n'aussi, 'veut pôs tuer persônne chez vous s'on peut éviter. N'attend v'soye sur pôtte.

Les quatre Uratha Irlandais se rassemblent et s'asseoient sur le sol à quelques mètres de la meute. Une patrouille de police longe la haie du parc, braquant des lampes torches par la fenêtre, mais les huit loups-garous sont dans un coin trop reculé et le faisceau ne révèle pas leur présence. Les Irlandais baraguinent dans un dialecte incompréhensible. Après quelques minutes, la blonde sort une console portative d'une poche et commence à jouer. Les deux plus jeunes discutent, mais le colosse se lève et commence à marcher et à s'échauffer, frappant l'air de ses membres énormes.

"Très bien..."

Günther commençait à en avoir plus qu'assez de ce foutu irlandais prétentieux qui ne comptait que sur son immense carrure pour impressionner. Il allait voir de quoi ce chauffait la meute. Son rythme cardiaque déja amplifié par la régéneration atteignait des sommets suite au provocations de la meutinette. On aurait dit un jeune pack de louveteaux qui n'avait rien de mieux à faire que de venir "déchausser" sur le territoire d'une vraie meute. Se levant sans même esquisser une grimace, bien qu'il en eut fortement envie vu la douleur, Gunther se posa devant le colosse pour lui lancer avec determination:

"Où et quand ?"

Le colosse croise ses énormes bras devant lui.

- Ben quind v'voulez, n'on n'attind v'z'êtes rabibôchés pis vôt ôlphô je l'met minab'. Direc'. On fat çô ici dès qu'v'z'êtes préts.

Visiblement, eux sont prêts à en découdre dès maintenant, mais ils ont la civilité d'attendre que leurs blessures soient remises, ce qu'ils savent n'être qu'une matière de temps : d'ici une heure, toute la meute sera comme neuve.

Bon, bah apparemment, on ne pourrait pas y couper. Donc le biker teuton, se leva lentement avant d'acquiescer d'un geste de la tête, puis, il fit signe à ses camarades de se suivre pour aller s'assoir hors de portée des oreilles es autres urathas. S'asseyant là où il pût, Gunther parla à la meute à voix basse:

"Bon, cette fois on a pas le choix, faut s'les faire! Alors pour le combattant, c'est ou Gaby ou moi, désolé Gret', mais t'es pas faite pour le corps à corps... Et tu le sais comme moi. A mon avis je peux me le faire, d'après ce que j'en ai vu... Par contre, même si j'me le fais, ça veut pas dire que je veux être alpha okay ? J'ai autre chose à fouttre à côté de la meute pour pouvoir prendre la place d'alpha... Alors j'veux bien m'charger d'ça, mais pour le poste d'alpha, on verra plus tard. Versteht ?"

Subitemment, suite à la remarque de Günther, la présence d'intrus sur le territoire parut dérisoire à Gretchen ; il y avait pire : on doutait de ses talents guerriers !

" Je SAIS me battre ! Pourquoi est-ce que depuis qu'ils ont proposé ce duel, tout le monde me regarde comme si j'étais un bibelot en cristal ?! J'suis comme vous ! Uratha Rahu ! 'tain, comme si c'était pas assez dégradant avec M'man, j'dois supporter ça avec vous... "Bouuuuh ! Petite Gretchen doit pas risquer sa peau ! Fragile gentille fifille ! " ! Ben c'est ça, battez-vous sans moi ! J'vais bouder plus loin ! "

Plus grognon et vexée que vraiment en colère, l'adolescente s'éloigna du banc autour duquel s'était réuni la meute, choississant ce qui lui paraîssait le moins ennuyeux pour attendre que la meute s'occupe du territoire - cela impliquait que s'il traînait une vieille balançoire, une force inconnue, telle un rayon tracteur de la Guerre des Etoiles, tirerait Gretchen jusqu'à elle -.

Gret' se sentait assez mal malgré son coup de gueule façon "J'ai ma fierté" et compagnie. Que sa mère s'inquiète pour elle, passait encore, après tout, c'était Maman, mais que sa propre meute la traite comme une enfant qu'il faut préserver de la dureté des choses, là, ça n'allait plus ! Elle avait tout de même seize ans et c'était une nom de Dieu de louve-garou !

Un calme tendu s'installe entre les deux meutes en attendant le combat. La plus jeune vient s'asseoir aux côtés de Gretchen auprès des vieux jeux pour enfants en piteux état qui trônent au centre du parc. Elle se roule une cigarette et en offre une à la jeune allemande. Si celle-ci se laisse amadouer suffisament pour discuter, elle lui dit s'appeler Linda et venir d'Irlande, et s'avère être une jeune fille intéressante avec qui Gretchen aurait sûrement des tas de choses à partager, les deux jeunes filles n'ayant qu'un an d'écart.

Gabrielle et la femme blonde, au contraire, se toisent avec suspicion. Pendant ce temps, les deux garçons de la meute d'Irlandais sont en train de discuter tactique, le garçon levant ses mains comme des pattes d'ours pendant que le colosse y frappe violemment tandis qu'ils ressassent des souvenirs de combats passés. Finalement, la meute reprend des forces et Günther se sent prêt à combattre.

Les premiers regard qu'adressa Gretchen à la fille de l'autre meute ne furent pas aimables du tout mais l'adoelscente fut désarçonnée dès qu'on lui proposa du tabac...

" Euh... Non, merci, j'fume pas... "

Intimidée par cette gentillesse toute bête, Gret' fixa le sol sabloneux sur lequel ses pieds dessinnaient nerveusement de grands traits informes.

Après un court silence, les instincts de sociabilité de l'humain prirent le pas sur ceux, plus renfermés, du loup et Gretchen se laissa aller à discuter comme si de rien n'était, occupant son esprit à autre chose que des affaires de territoire disputés par des chasseurs métamorphes et essayant de trouver une passion commune avec Linda ; mécanique, sport, armes à feu ou, plus simplement, la musique, les séries télévisées...

Big Bear était tendu... Il avait beau le nier, il sentait que le combat allait être difficile. Il ne fallait pas flancher, il ne pouvait pas. Il sentait plus que jamais la précarité de l'équilibre entre sa bête et son homme. Il fallait réussir à jongler du mieux possible entre les deux. Avoir la puissance et l'impresivibilité de la bête, mais l'intelligence et la sournoiserie de l'homme. Affalé sur un banc, les coudes posés sur ses genoux, le teuton regardait le ciel étoilé en frdonnant une vieille chanson allemande determinée mais mélancolique. Soudain, la determination revint, comme une grande tape dans le dos d'un frangin, se redressant, fier, le biker se dressa sur ses jambes desormais fermes. Il s'était déja fait virer d'Allemagne, et du Bronx, cette fois, ça allait chier et du bon côté! Remonté comme une horloge, prêt au combat, il regarda ses compagnons de meute, auquel il décoche un regard confiant en apparence et amical en plus, comme s'il savait qu'il ne devait pas les decevoir, et qu'il ferait tout pour cela. Toutes ses forces lui étaient revenues, et il comptait bien surprendre l'Irlandais qui devait encore avoir dans la tête les images du Gunther criblé de pomb et titubant, bien qu'il connaisse les capacités de regenerations qu'ils partageaint. La première impression qu'avait l'irlandais de lui serait une bonne alliée. Se presentant devant le colosse, il lui lança avec solennellité, mais sans haine ni défi:

"C'est l'heure. T'es prêt?"

Le colosse acsquiesce puis se dresse de toute sa hauteur, sa masse encore augmentée par la forme Dalu, le rendant vraiment impressionnant. Il place les poings devant lui sans fioritures ni excès de style : ce type là a appris à se battre dans la rue ou dans la boue, pas sur un tatami ou un ring, ça se sent.

[Initiative, l'ami]

Travis tapa sur l'épaule de son collègue. Certe, l'autre géant avait l'air fort, mais Günther également, et au moins, le biker n'était pas un demeuré comme l'autre masse de muscles et d'os semblait être. Un fin combattant, ce n'était pas forcemment qu'une masse de muscle et de violence, et l'avantage d'intellect qu'avait l'Allemand sur l'Irlandais pourrait faire tourner la balance en leur faveur. Travis fit un signe de tête assuré à Günther puis serra le poing devant lui dans sa direction.

Pour la meute !

[initiative = 12 (7+5)]

Le biker rendit son signe à Trävis en envoya un sourire carnassier empli d'une fausse assurance à l'espagnole. Serrant, les poings, il essaya de faire affluer en lui l'energie du loup-garou. Mais le stress lui titillait les tripes et il ne pouvait cesser de dévisager l'irlandais. La concentration affaiblie, le biker rata son changement de forme. Utilisant l'essence de son esprit, il fit influer la matière éthérée qui se transforma instantanément en chair musclée et pileuse. Ainsi ragaillardi, utilisant l'enervement d'avoir raté sa transformation et pasant ainsi pour, peut-être, encore plus faible qu'il ne l'était, l'allemand inclina la tête avec respect:

"Que Luuna désigne le meilleur"

Puis il plaqua fermement ses coudes contre ses flancs, et serra ses poings massifs devant sa mâchoire, il ne devais et ne pouvait pas perdre... "pour la meute" comme l'avait dit Trävis, mais aussi pour lui.

[jet de transformation en dalu :2 6 6 4 , utilisation d'essence (1pt) ]

L'Irlandais pousse un grognement rauque ressemblant déjà à une attaque avant même que le combat n'ait commencé, et saisissant Günther au tripes.

[Günther, tu me fais un jet de Calme + Instinct Primal, il te faut 3 succès, si tu rates, la défense de l'Irlandais monte de 2. Son Initiative est de 5 (jet de daube)]

(jet = 6 10(1) 6 génial >_> )

Le hurlement saisit le teuton aux tripes, surpris par l'action innatendue de l'irlandais, le biker commença sur la defensive, préparant bien sa garde pour voir quelles techniques pourraient bien utiliser le galuchô, en essayant de profiter de son experience de combat de rue pour eviter au maximum les coups et analyser facilement l'adversaire.

[défense totale, avec mon bonus du à "esquive : main nue" ^^;]

L'Irlandais commence direct à lui rentrer dedans, sans se soucier que sa plus grande taille le rend plus lent que son adversaire. Mais Günther a une défense solide et repousse tous les coups... pour l'instant.

[Le Don qu'a utilisé Cahill (c'est son nom) lui monte sa Défense de 2, tu retireras donc 4 dés si tu essaies de le frapper tant que je ne te dis pas que je suis en Assaut.

Round 2, ta tactique ?]

Bon, apparemmen cet irlandais de malheur frappais comme un dératé, usant de sa puissance et abusant de sa lenteur. Ayant réussi à esquiver l'intégralité des coups du rahu d'en face, le biker ressera solidement le poing et tenta de feinter un coup par la gauche avant de balancer un puissant crochet du droit en direction du foie de l'irlandais, reprenant sa garde aussitôt le coup porté, il faudrait bien commencer à frapper un jour ou l'autre ! Et cet irlandais, don ou pas allait déguster ! On ne vole pas le territoire des Urathas!

[lancé: force+bagarre spécialité coups: 4+5-4= 5 dés, résultat : 8 10 (1) 4 1 2 2 succès]

Le coup porta effectivement, mais Gunther était encore destabilisé par le hurlement sinistre et morbide de son opposant. La rage de son coup était émoussée, et il ne fit que toucher en bout de geste le ventre de l'irlandais qui ne du pas sentir grand chose.

L'Irlandais prend le coup et l'accuse tout de même, mais ça ne l'empêche pas de répondre. Il se jette sur son adversaire et se saisit du biker dans ses bras énorme afin de l'enserré dans un étau de chair et de muscle. L'homme est si grand que Günther n'atteint même pas son visage pour répondre par un coup de tête.

[tentative de saisie réussie, tu dois réussir un jet de force + Bagarre (sans spé) à -5 dés pour te dégager ou tu peux essayer de lui mettre des coups de tête dans le thorax ou des coups de genous (-7 dés à cause du Don qu'il a utilisé)]

L'immense carrure e l'irlandais fondit sur le biker qui lancé dans son coup ne put rien faire pour éviter l'emprise du loup-garou. Gunther comprima ses muscles pour eviter de se faire écraser, et emplit ses poumons au maximum d'air. Bloquand la respiration, il baissa le regard, et en un grognement, il se mit à pousser sur ses bras pour tenter de se libérer de l'etreinte inamicale du dalu qui se trouvait devant lui, Gunther savait que si jamais il ne réussissait pas à se libérérer, les choses risquaient de mal tourner pour lui.

[jet force+bagarre-4=> 3 dés : 1 3 6 >_< pourquoi le lanceur me lache maintenant ?]

Cependant la force seule du biker se suffit pas à le liberer de la puissante emprise de l'apha. Gunther sentit sa volonté s'effriter, mais l'espoir restait là, tapis dans un coin.